Culture

De l’écriture…ou la tentation de raconter l’ineffable…/ par: Mohamed Salem Ould Moloud

Le plus beau triomphe de l'écrivain est de faire penser ceux qui peuvent penser.

Eugène Delacroix                           

Raconter l’ineffable, c’est le job de l’écrivain,...

Commandant GILLIER, vous avez vaincu sans avoir raison !! par : Abdel Kader Ould Mohamed

Je ne sais pas ce qui m'a fait penser à vous, Commandant, et pourquoi à vous précisément, au moment où je m'efforçai d'occulter mon émotion à l'entrée du...

J'ai hâte... d'écouter les bêtises de mes compatriotes./ Mbarek Ould Beirouk

Je suis actuellement à Genève où j'ai eu ce matin à présenter mon dernier roman devant un public appréciable et participé à un débat passionné...

Reflets... / par: Idoumou

Il y a ce regard infini et cet oiseau au loin volant
Il y a ces clapotis de l’eau et ce soleil qui descend
Il y a
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La Mahadra (suite et fin): Un pan entier de la mémoire de notre campement fut perdu./ par: Isselkou Ahmed Izidbih

Au niveau de notre campement, la prise en charge matérielle des apprenants «étrangers», s’effectuait suivant plusieurs modalités; ceux dont les familles disposaient de ressources suffisantes, ramenaient des provisions en...

Tfeila, la Grande mère est au Paradis, une œuvre du Dr Zeinebou Mint Sidemou

Le Professeur Zeinebou Mint Sidemou a eu la délicatesse de me dédicacer son ouvrage, Tfeila, la Grande mère est au Paradis. J’ai eu ainsi l’honneur d’être parmi les premiers lecteurs...

La Mahadra (suite, épisode 3) : perdre sa "Radva" / par : Isselkou Ahmed Izidbih

L’une des particularités cultuelles de notre campement, par rapport à des campements similaires, était le respect scrupuleux d’une règle non écrite stipulant que le jeune garçon ne pouvait «se...

La Mahadra (suite, épisode 2) / par : Isselkou Ahmed Izidbih

L’Erudit, Ahmed Salem, n’était pas violent, loin s’en fallait, mais la punition physique faisait partie des moyens «didactiques» du système éducatif traditionnel; il existait aussi d’autres formes...

La Mahadra / par Isselkou Ahmed Izidbih

Nous avions l’habitude, mes compagnons et moi, de nous réunir trois fois par jour, à l’aube, vers deux heures de l’après-midi et au crépuscule, qui pour réciter...

Nouakchott, Ô noble bâtarde… !*

Et la lumière sélénique se déverse en jets lactescents sur les côtes de Nouakchott, se mêlant à la brise marine. La marche inopinée en cette ville de l'errance en...

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