François Hollande à Atar, Nicolas Beau sabote Ould Bouamatou.

François Hollande à Atar,  Nicolas Beau sabote Ould Bouamatou.

Comme le montrent les faits, y compris les révélations de Nicolas Beau lui-même, les liens entre ce journaliste français et le richissime homme d’affaires mauritanien Mohamed Ould Bouamatou sont simples à comprendre. Il s'agit en principe du donnant-donnant : l’homme d’affaires, devenu subitement opposant pour des raisons qui continuent d’intriguer, débloque l’argent ; et le patron de Mondafrique met son journal au service d’Ould Bouamatou dans la guerre féroce, médiatique et politique, que ce dernier livre contre l’Etat mauritanien depuis quelques années.

Mais dans la réalité, les deux parties ne sont pas forcement gagnantes. L'une est perdante sur le plan moral et journalistique, et l'autre sur le plan financier et politique. Même si elles s'en soucient assez peu pour le moment, à la longue, cela risque de laisser des traces lourdes de conséquences pour les deux hommes.

Lire: "L’acharnement de Mondafrique contre le président Aziz: Nicolas Beau donne l’explication."

Le caractère mercantiliste du rapport qu’entretient Nicolas Beau avec son financeur fait que des lecteurs et observateurs,  dont nous faisons partie, préfèrent appeler son journal électronique « monde-à-fric ».

L’argent comme unique mobile et la recherche effrénée du fric à tout prix font croire à Nicolas Beau qu’il peut tout vendre à Ould Bouamatou. Son mépris pour son « bon client » est tel qu’il n’accorde que trop peu de soin aux produits qu’il lui livre, estimant que l’acheteur est preneur de tout papier signé « Nicolas Beau » ou "rédaction de Mondafrique", pourvu que cela dénigre le président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz et ceux qui coopèrent avec lui de près ou de loin.

 Résultat : les articles made in « Monde-à-fric » concernant la Mauritanie se distinguent par leur mauvaise qualité, tant en ce qui concerne le fond que la forme : aucune invetigation sérieuse, trop grande légèreté dans l'approche et le contenu, mauvais style rédactionnel, fautes d’orthographe…

 La médiocrité de l’article en image ci- dessus, concernant la visite en Mauritanie de l’ancien président français, François Hollande, illustre cette absence totale de rigueur professionnelle et, par conséquent, témoigne d’un manque de respect notoire de la part de Nicolas Beau vis-à-vis de son mécène, Mohamed Ould Bouamatou. Ici, la niveau de médiocrité est tel que le lecteur aura tendance à accuser l'auteur de sabotage.

Nous en retiendrons deux passages, en plus d'un exemple  d'insultes qu'il a proféré en direction d'un compatriote:

  •  Dans l’extrait scanné suivant, on note que Nicolas Beau ne sait pas où se situent exactement la belle oasis deTerjit et sa source, ni ce que ce site mythique représente sur le plan touristique. Et comment le saurait-il alors qu’il ignore le nom même de l'endroit qu’il désigne vaguement par: « une grotte proche dans la région de l'Adrar»? Son travail de recherche et d'investigation s'est limité à regarder une photo q'il a dû voir et "piquer" sur le net.

  

  • A cet exemple d'ignorance de la Mauritanie, ajoutons la légèreté avec laquelle le journaliste français s'acharne gratuitement contre l’homme d’affaires Mohamed Ould Noueyguedh et les mots insultants qu’il lui adresse quand il  le compare à Bernard Tapie « avec l’intelligence en moins », écrit Nicolas Beau.
  • Dans le second extrait ci-dessous, que nous avons encore scanné, on relève au moins:
    • deux fautes d’orthographe;
    • une mauvaise construction de phrases, avec plusieurs fautes de style.

Notre compatriote continuera-t-il à acheter des "services journalistiques " aussi mauvais ? Espérons que non.

Car recruter des plumes mercenaires pareilles, qui ne mettent pas de sérieux dans ce qu’elles pondent, c’est tout simplement perdre son argent, et c’est contreproductif.

El Boukhary Mohamed Mouemel

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