Bravo et félicitations à mon compatriote et ami Mbarek Ould Beyrouk. Son roman, Le tambour des larmes (Elyzad), vient d'être primé par plus de 300 lycéens réunionnais et malgaches. Je viens d'apprendre la bonne nouvelle dans le site " livre hebdo" via un partage effectué sur face book par Alika Nakash. Merci à elle également.
Nouakchott, mars 2016 : avec Beyrouk. Il est à gauche sur l’image.
C’était lors d’une séance de dédicace de son roman, Le tambour des larmes. Une rencontre qui m’avait donné à l’époque de bonnes sensations, je crois, en voyant dans sa Rayhana une belle voix d’auteur. Depuis, mes relectures du roman et le parcours de celui-ci, deux fois primé, m'indiquent que l'ouvrage n'a pas livré tous ses secrets. Et tout cela me reconforte dans mes premières impressions de lecteur satisfait de l'un de ses auteurs preférés. EBMM
"Le Prix du roman métis des lycéens a été attribué, jeudi 15 décembre, au journaliste et écrivain mauritanien Mbarek Ould Beyrouk, dit Beyrouk, pour son roman Le tambour des larmes, paru en novembre 2015 aux éditions Elyzad. Il a été choisi, pour cette sixième édition du prix, par 303 élèves de 10 lycées réunionnais, et 30 élèves de 4 lycées malgaches, qui se sont déclarés "touchés par la thématique de la condition féminine et des inégalités de genre" abordées dans le roman, selon le communiqué transmis à la presse.Dans Le tambour des larmes, qui a reçu le Prix Ahmadou Kourouma lors du dernier Salon du livre et de la presse de Genève, Beyrouk relate le périple de la belle Rayhana, une jeune femme issue de la tribu des Oulad Mahmoud dans le Sahara mauritanien, contrainte par sa famille d'abandonner son enfant et préférant la fuite au mariage forcé. L'auteur viendra rencontrer les lycéens réunionnais et malgaches en avril 2017.
Créé en 2011, le Prix du roman métis des lycéens mobilise depuis cinq ans des jeunes et des équipes pédagogiques de l’île de la Réunion autour d’une littérature contemporaine, ouverte sur le monde et porteuse de valeurs d’humanisme, de métissage et de diversité. Depuis 2015, des lycéens malgaches ont rejoint le jury lycéen, à l’initiative de l’Institut français de Madagascar".