Le plumitif Nicolas Beau , tristement célèbre pour son imposture et ses niaiseries puériles, vient de publier un article ou, pour mieux le qualifier, un hallali, une curée médiatique de basse facture, une attaque indigne contre le président Mohamed Ould Abdel Aziz, dont il ignore même le nom exact.Tout comme il ignore superbement les réalités de la Mauritanie.
Mais toutes ces précautions d’ordre déontologique et professionnel importent peu pour un homme en mal d’angélisme et de notoriété académique dans son propre pays , et, qui veut en guise de compensation, s’octroyer, par tous les moyens y compris les plus perfides, une place sous le soleil africain où il juge que tout est permis dans les « républiques bananières » .
C’est pourquoi, après avoir tenté sans succès une expérience professionnelle dans quelques quotidiens français, il rejoint en 2007 le site « Bakchich » comme rédacteur en chef. Le site est placé en redressement judiciaire en 2009, suite à plusieurs plaintes pour diffamation. Selon le journaliste Pierre Péan dans son livre « la république des mallettes », Nicolas Beau signa un accord de partenariat avec Alexandre Djouhri, un proche de Sarkozy et de Pasqua, jusqu’ici fortement critiqué par le journal, et qui devient par la même occasion un actionnaire généreux ! Mais le site « bakchich » tombera, lui-aussi , en faillite pour être remplacé en 2016 par « Mondafrique » .
Le site Mondafrique qui gardera, sous la houlette de Beau, les mêmes pratiques immorales de son ancêtre : Bakchich. C’est dans ce cadre que Bouamatou, opposant mauritanien de la vingt cinquième, est devenu un actionnaire à hauteur de 15% . Une « proximité matérielle » entre deux commerçants qui explique les propos indignes et mensongers de l’article visant à ternir la crédibilité du président Mohamed Ould Abdel Aziz et à flétrir l’image de marque de la Mauritanie.
Une peine perdue pour le mercenaire et le bailleurs de fonds.
Car le président Mohamed Ould Abdel Aziz a rendu confiance et espoir à la nation mauritanienne qui s’interrogeait plus que jamais le 06 Aout 2008 sur son avenir ; en réglant définitivement le dossier du passif humanitaire ; en mettant en place une stratégie multidimensionnelle pour éradiquer les séquelles de l’esclavage ; en confortant sans tapage ni concession notre indépendance nationale pour que la Mauritanie tienne son rang comme souveraineté qui ne peut être asservie, ni alignée, ni intégrée ; en donnant à notre résistance anticoloniale la place qui lui sied dans notre conscience collective ; en jetant les fondements durables d’un Etat démocratique, moderne et égalitaire ; en mettant en place un système de défense efficace contre les groupes terroristes qui ont élu domicile dans la sous-région .
C’est cette cohérence harmonieuse entre une pensée stratégique et des réalisations concrètes qui explique la forte communion de cœur et d’esprit entre le président Aziz et le peuple mauritanien. Elle explique aussi la marginalisation de l’opposition extrémiste intérieure et extérieure qui, faute d’une stratégie politique claire, ressemble à s’y méprendre aujourd’hui à un bateau ivre, sans vigil.
Et ce n’est pas un piètre articlede Beau commandé pour peigner en noir l’action irréfutable du président Aziz qui grandira celle de son bailleur de fonds. Et encore moins n’affectera d’un iota la reconnaissance du peuple mauritanien à l’endroit de son président.
Car le peuple mauritanien est suffisamment averti pour faire la juste part entre l’ivraie et le bon grain, le juste et le faux, la vérité et le mensonge.
Docteur Abdallahi Ould Nem
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* L'auteur fut deux fois ministres : d'abord ministre des pêches, puis ministre des affaires étrangères. Et il a une très bonne plume qu'il emploie à fond, sans gène ni reserve, contre les detracteurs et ennemis de son ami politique, le Président Mohamed Ould Abdel Aziz auquel il apporte un soutien sans limites.
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