Dans son article dans le média français « Ouest France », Elisabeth William confond allégrement éthique journalistique et agression personnelle, reprend mécaniquement les fausses informations et les potins d’une opposition extrémiste mauritanienne ivre et sans vigil.
Un article qui suinte de mauvais gout, d’inculture, de grande vulgarité, de déni des réalités. Mais surtout une méconnaissance totale de la Mauritanie et du rôle joué par le président Mohamed Ould Abdel Aziz depuis son accessionà la magistrature suprême du pays.
Une accession qu’ il faut juger, pour être objectif et impartial, ce qui n’est pas le cas de Madame William, avec les yeux de son époque pour mesurer l’audace du changement et sa justesse, et avec les yeux de la nôtre pour mesurer les importantes réalisations et ses retombées positives sur les Mauritaniens en général, et les franges les plus démunies en particulier.
En effet, la Mauritanie , en 2008 , était anesthésiée, bloquée, allait inexorablement à vau-l’eau avec un présent qui scellait beaucoup d’angoisses, un avenir qui faisait peur. Une situation périlleuse d’alors, qui ne saurait tomber aujourd’hui en quenouille par la destruction volontaire de notre conscience collective historique, tant sa gravité était extrême pour le pays.
Une situation effectivement grave qui rappelait à s’y méprendre la délicate « situation des extrêmes » évoquéepar le philosophe Alain. Soit la persistance du statut quo ante qui signifiait la sortie de l’Histoire ; ou le changement de régime, la solution idoine pour permettre au pays de sortir de l’ornière pour se renouveler, s’émanciper, changer de système et de classe dirigeante.
Une nouvelle voie, une morale politique qui se réfère à un aggiornamento politique nouveau fondé sur les forces enfouies de ce peuple, sur sa résilience historique de surmonter les épreuves, sur les intérêts et les potentialités propres du pays, sur sa sécurité, sur la visibilité constante de notre passé qui donne la profondeur et l’épaisseur au présent, sur la participation du citoyen, en particuliers les plus démunis, comme acteur et bénéficiaire du processus de développement .
Une nouvelle voie dont les résultats tangibles couvrent aujourd’hui tous les domaines : politique, socio-économique, culturel, sécuritaire.
Seuls quelques cercles réduits continuent, pour des motifs strictement personnels, à occulter cette réalité indéniable. Des cercles réduits qui font la politique comme ils font le commerce ou les transactions commerciales, comme le confirment sans ambages les enregistrements obtenus chez l’ancien sénateur Ould Ghada. Et ce n’est pas des articles parus sur commande dans « Ouest France » ou dans le Mondafrique ou dans un autre journal du même acabit, qui feraient des corrompus des oies blanches aux yeux du peuple mauritanien. Loin s’en faut.
Un peuple qui considère la corruption comme une pratique indigne dans notre système de valeurs. Un peuple qui considère aussi le président Mohamed Ould Abdel Aziz comme garant de l’indépendance du pays et de son unité nationale, comme le fondateur d’un Etat moderne et démocratique.
C’est pourquoià chaque fois que l’occasion lui est donné, il lui manifeste, dans l’enthousiasme et l’allégresse , sa profonde reconnaissance et son soutien indéfectible pour les acquis obtenus, ainsi que sa constante disponibilité pour contrecarrer toute manœuvre visant la déstabilisation intérieure ou extérieure de la Mauritanie.
Docteur AbdallahiOuld Nem
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