Je n’ai jamais vécu un confinement imposé par l'Etat; et ses contraintes qui semblent terribles pour beaucoup de gens ne me laissent pourtant pas indifférent. Car, c’est tout comme : je m’impose l’auto confinement avec ma famille depuis bientôt deux semaines ; et j’avoue que ce n’est pas facile...
Comme tout le monde, je passe beaucoup de temps à fouiller sur internet, courant derières les proppositions et idées qui foisonnent sur la toile, venant de toute part, pour alléger aux confinés le poids de l’épreuve. Mais il y a deux heures environ, je me suis rendu compte que ce n’était pas la bonne cource à mener pour surmonter les ennuis.
La meilleure piste à suivre, qui procure beaucoup de plaisir, je l’ai trouvée moi-même grâce à mes deux enfants.
Adorables, les deux archanges jouaeint, très bruyants, dans une pièce à côté.
Pour les calmer, je les rejoints, souriant, en vue de les faire taire sans les brusquer. Je commençais tout doucement à leur parler en courant avec eux.
Et sans faire attention au temps qui coule, le footing dura des minutes et des minutes. Résultats : sans m’en rendre vraiment comppte, j’ai eu plus de deux km de petites foulées dans les jambes, accompagnés de mes propres enfants tout en restant dans leur chambre. Leur maman nous observait de très près, joyeuse elle aussi, refusant toutefois de se joindre au jogging malgès l'insistance de ses petits.
En fait, la pièce que nous avons utilisée ce n’est pas vraiment la chambre des enfants, mais parmi la famille, ce sont eux qui y passent le plus de temps et ils y dorment, tranqiles. Sauf quand il y a des visiteurs ou d’étrangers de passage. Des cas assez fréquents, parfois même trop dérangeants pour les enfants !
C’est vous dire que c'est très beau, l’hospilité arabe et africaine; mais dans bien des cas, ce sont les enfats qui font souvent les frais de l’autre revers de la médaille.
El Boukhary Mohamed Mouemel
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