
Tout va de mal en pis moralement et politiquement pour Bouamatou dans son exil. Son dernier message traduit sans ambages l’ état d’esprit de psychose délirant dans lequel il est englué.
Un message où il s’attelle à débiter sans scrupules un tissu de mensonges, à énoncer des contre-vérités, à fausser la réalité pourtant criante et à faire de la fausse monnaie intellectuelle de bas niveau.
Un message où il se déguise sous le visage clair d’Apollon en thaumaturge de la vingt- cinquième heure porteur de nobles principes pour la Mauritanie, alors que c’est sous les régimes d’exception qu’il a injustement amassé son imposante fortune par l’évasion fiscale, par la corruption des responsables et par le biais d’autres pratiques indignes.
Mais cette fausse cure d’eugénisme politique peut tromper un certain temps une certaine opinion extérieure, dont le soutien est d’ailleurs en déperdition, mais point le peuple mauritanien dont la mémoire collective garde les attitudes dégradantes qui ternissent suffisamment l’image de marque de l’homme et du bain de jouvence auquel il aspire aujourd’hui.
Un peuple mauritanien qui mesure à sa juste valeur les acquis politiques, socio-économiques, culturelles, sécuritaires et diplomatiques enregistrés depuis 2008. Un peuple suffisamment éveillé politiquement pour faire la différence entre le bon grain et l’ivraie, entre les réalisations qui ont fondamentalement métamorphosé le pays et la parole verbale concoctée par un faussaire délirant dans des tours d’ivoire feutrées à l’extérieur.
Et en dernière analyse, en politique seule l’opinion publique mauritanienne est déterminante comme tribunal politique permanent dont la sentence rejoint toujours le jugement implacable de l’Histoire.
Une sentence qui sera confirmée par une victoire éclatante du projet de société du président Mohamed Ould Abdel Aziz incarné par notre parti, l’Union pour la République, aux élections du premier Septembre 2018.
Docteur Abdallahi Ould Nem
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