C’est en Palestine seule qu’un bébé devient martyr alors qu’il n’a pas plus de huit mois, que meurent l'enfant immature et le vieux vénérable, qui tiennent à ne pas s’absenter des champs de bataille pour défendre la terre confisquée, expropriée.
En Palestine, la femme fête lorsqu’elle apprend le martyre de son fils, car elle l’a nourri aux mamelles du refus et à la nourriture de l’insoumission à l’ennemi usurpateur, si caractéristique des gens libres.
En Palestine, l’invalide amputé des deux jambes, meurt par les balles de l’occupation, brandissant le drapeau de la victoire qui ne tombera pas.
En Palestine, l’odeur de la mort embaume ciel et terre depuis soixante-dix ans.
Et jamais les palestiniens n’ont changé d’un iota, immuables comme du roc.
Ils ne se prosternent que pour Allah, ne reculent pas le jour du combat, ni ne ploient, ni ne rampent et ne se soumettent jamais.
Les Arabes et les musulmans complotent autour d'eux, ce qui ne fait qu'accroître leur détermination et leur attachement à leur cause.
La Palestine est grande, et ne donne naissance qu’à des grands. Qu’ils soient nourrissons, enfants, jeunes ou vieux, hommes ou femmes, ou encore handicapés.
Qu’elle est grande la Palestine !
Traduction d'un posting du blogueur et journaliste de talent Mahfoud Salek.
Source : Med Yahya Abdel Wedoud (face book).
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