De manière récurrente, certains rhéteurs, qui ne s’embarrassent guère de scrupules ni d’éthique professionnelle, versent dans une cabale politico- médiatique faisandée et mensongère, riche en fables ingénues et en invectives, visant à ternir l’image de marque du pays et flétrir celle du président Mohamed Ould Abdel Aziz. Le dernier mensonge cousu de fil blanc, fortement relayé par la chaine Al Jazzera, est relatif au transfert de deux milliards de dollars dans une banque de Dubaï.
Or, il est bien établi qu’un mensonge mille fois répété n’est pas forcément une vérité révélée. Loin s’en faut. Toutes les informations du même acabit diffusées par le passé et visant à altérer, fausser et défigurer la situation en Mauritanie, se sont avérées des coquilles vides et mensongères. La dernière en date n’est guère une exception parce que vite démentie par certaines sources avisées de Dubaï.
Mais le plus important, c’est que le peuple mauritanien, comme par le passé, fait la différence entre le bon grain et l’ivraie, le froment de cette paille destinée au feu. Il sait faire la différence entre le grotesque, l’indigence et la fausseté de ces informations fondamentalement en opposition avec le système de gouvernance mis en place par le président Mohamed Ould Abdel Aziz depuis une décennie, et dont la transparence et la lutte effrénée contre la gabegie sont les maitres-mots. Une telle politique de bonne gouvernance a désaxé ceux qui s’orientaient lucidement dans lapénombre de la corruption et de la mauvaise gestion. Ils n’ont plus comme are ultime que la diffamation et le mensonge protecteur, c’est à dire les signes pathognomiques de la décadence morale et politique.
Docteur AbdallahiOuld Nem
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